Transhimalayenne et Ladakh

Transhimalayenne et Ladakh en moto Royal Enfield

La nouvelle Transhimalyenne 2023 reliant Manali à Leh nous emmène au coeur d’une des régions les plus isolées mais aussi les plus spectaculaires de la planète, le Ladakh, que l’on surnomme également « le petit Tibet ».  Vous parcourez quelques 1500 km sur la légendaire route la plus haute du monde à la rencontre de la terre et des hommes. Ce voyage moto au Ladakh nous offre des paysages à couper le souffle.

 

Prière des moines bouddhistes au monastère de Temisgam - Voyage à moto Transhimalayenne et Ladakh, Inde, Himalaya

Culture Bouddhique

Parsemées de monastères d’une autre époque, les profondes vallées aux sommets enneigés sont habitées par une population ladakhie majoritairement bouddhiste, au mode de vie ancestrale, accueillante et soucieuse de son hôte.

Lac Tsokar - Voyage à moto Transhimalayenne et Ladakh, Inde, Himalaya

Lacs d'altitude

Le plateau tibétain accueille depuis des générations les nomades Changpa avec leurs troupeaux de chèvres pashmina et de yaks. Les 3 lacs offrent des paysages extraordinaires où les montagnes se fondent dans les eaux cristalines.

Col de Lachunglung La sur la route de Manali à Leh en Royal Enfield - Voyage moto au coeur du Ladakh, Inde, Himalaya

Route Manali Leh

La Transhimalayenne, l’une des routes les plus fantastique de l’Inde, est bloquée 8 mois de l’année par la neige. Ce voyage moto au Ladakh nous emmène à 7 reprises virevolter vers les 5000 m, poussant à ses limites l'homme et sa Royal Enfield.

14 jours dont 9 de moto +/- 1500 km

Départs garantis en juillet et août

A partir de 2450€ / pilote et 2110€ / passager,ère

12 participants maximum

Confort du vol de/vers Delhi-Leh

Une équipe locale sans intermédiaire

Galerie d'images et vidéo Transhimalayenne et Ladakh

L'itinéraire

J1 : EUROPE - DELHI

Accueil à l’aéroport international et transfert à l’hôtel à Delhi. Journée libre. Possibilité de visiter l'ancienne ville (XVIIème siècle) avec la Grande Mosquée (Jama Masjid), le Fort Rouge, un exemple parfait de l'architecture Moghol et le Bazar de Chandi Chowk (vieux Delhi). Logement à l’hôtel (216 m d'alt.).

Aéroport Kushok-Bakula-Rimpoché à Leh

J2 : DELHI – LEH (1000km – 1h30)

Tôt le matin, vol intérieur pour la capitale du Ladakh, point de départ de notre raid en Royal Enfield. Accueil par votre guide moto francophone et installation à la guesthouse. L’altitude élevée de Leh (3500 m alt.), nous impose de rester au calme durant cette première journée dédiée à l’acclimatation. Logement en guesthouse (3500 m d'alt.).

Route de Leh à Lamayuru dans la vallée de l'Indus - Voyage à moto Transhimalayenne et Ladakh, Inde, Himalaya

J3 : LEH – BEEMA (157km – 5h)

C’est le grand départ, nous prenons en mains la Royal Enfield et mettons le cap à l’ouest par la route de Kargil menant au Cachemire. Peu avant Nimmu, nous pouvons observer le point de confluence des fleuves Zanskar - Indus. Ensuite, nous continuons la route le long des rives de l’Indus ; des gorges impressionnantes entaillent la vallée de part et d’autre. A mesure que nous remontons la vallée, le paysage se fait de plus en plus spectaculaire, tandis que les parois rocheuses désolées forment un contraste saisissant avec les villages plantés d’abricotiers et de noyers. Le village de Beema fait partie des fiefs du peuple Drokpa, une communauté unique qui descendrait des soldats d’Alexandre le Grand. Certains villageois portent encore des perles aux oreilles, des coiffes florales et des chapeaux traditionnelles. Logement à l’hôtel (2800 m d'alt.).

J4 : BEEMA – WANLA – LAMAYURU (126km – 4h)

Nous rejoignons la route du Cachemire par une transversale parsemée de petits villages isolés. Nous franchissons le col du Fotula (4108m) surplombé par d’impressionnantes crêtes découpées avant de redescendre vers Lamayuru. Le monastère antérieur au 10ème siècle qui domine le village de Lamayuru depuis un rocher escarpé, est le plus vieux gompa connu du Ladakh. Autrefois les criminels y jouissaient du droit d’asile, ce qui explique son nom de « Tharpa Ling ou lieu de liberté ». Dans l’après-midi, petite escapade jusqu’au village de Wanla, qui fut le départ de randonnée de la grande traversée du Zanskar avant que la route ne soit construite. Logement en guesthouse (3500 m d'alt.).

J5 : LAMAYURU – LEH (130km – 4h)

Route de l’Asie centrale, cap à l’extrême nord par le col carrossable le plus haut du monde, le Khardung La (5602 m annoncé par la voirie, mais réellement à 5359 m au gps) d’où nous découvrons le Saser Kangri culminant à 7612 m d’altitude. La descente d’une heure et demie jusqu'au village de Khardung n’en finit pas de zigzaguer, encore et encore. Nous finissons par déboucher dans la vallée de la Nubra, large plaine formant un Y au travers des montagnes ; au centre, les rivières Nubra et Shyok serpentent la vallée. Nous continuons jusqu’au village de Hunder. Logement en guesthouse (3500 m d'alt.).

J6 : LEH – KARDUNG LA – HUNDER (125km – 5h)

Route de l’Asie centrale, cap à l’extrême nord par le col carrossable le plus haut du monde, le Khardung La (5602 m annoncé par la voirie, mais réellement à 5359 m au gps) d’où nous découvrons le Saser Kangri culminant à 7612 m d’altitude. La descente d’une heure et demie jusqu'au village de Khardung n’en finit pas de zigzaguer, encore et encore. Nous finissons par déboucher dans la vallée de la Nubra, large plaine formant un Y au travers des montagnes ; au centre, les rivières Nubra et Shyok serpentent la vallée. Nous continuons jusqu’au village de Hunder. Logement en guesthouse (3200 m d'alt.).

J7 : HUNDER – PANGONG (180km – 6h)

Nous remontons sur une centaine de kilomètre la rivière Shyok qui prend sa source au glacier Rimo, une des langues du glacier Siachen dans le massif du Karakoram. Au début nous évoluons au centre d’une large vallée désertique, dans une ambiance du bout du monde, ensuite nous empruntons une nouvelle portion au travers de gorges étroites en direction du Pangong. Ce lac qui s’étend sur 134 km (dont les 2/3 se situe au Tibet) affiche une palette de bleus intenses qui contraste avec les couleurs minérales de la roche. Logement en camp fixe (4500 m d'alt.).

J8 : PANGONG – LEH (165km – 7h)

Depuis le village de Man, nous longeons le Pangong sur une quinzaine de kilomètres jusqu’au « Shooting point » plage de sable qui apparaît dans le film bolliwoodien « 3 Idiots » et qui attire bon nombre de touristes indiens, séance photos et bonheur à l’eau de rose assuré… Les 30 km qui mènent jusqu’à Tangtse sont de toute beauté, roche multi couleur et prairies au centre desquelles serpente un petit cours d’eau qui attire les grues à têtes noir, oies, marmotte, chevaux et yaks. Nous entamons ensuite la montée du Chang La (5391m alt.) avant de redescendre par une large route parfaitement plane vers la vallée de l’Indus, de plus en plus animée à l’approche de Leh. Logement en guesthouse (4500 m d'alt.).

Palais Royal de la ville de Leh, capitale du Ladakh - Voyage à moto Transhimalayenne et Ladakh, Inde, Himalaya

J9 : LEH (journée libre)

Journée détente, le temps de reprendre son souffle, repos, balade à pied, resto, shopping, monastères et pûjâ… Leh mérite de s’y arrête un jour complet. Logement en guesthouse (3500 m d'alt.).

Royal Enfield et drapeau à prière au lac Tsomoriri - Voyage à moto Transhimalayenne et Ladakh, Inde, Himalaya

J10 : LEH – TSOMORIRI (211KM – 7 à 8h)

Nous remontons cette fois l’Indus vers l’est en direction du Changtang, tout proche de la frontière tibétaine. La zone est sous contrôle militaire et nous devons présenter nos permis de visite au check-post qui contrôle le passage du Mahe Bridge. La route, qui mène à un premier lac turquoise, le Tsokiagar, se transforme alors en piste jusqu’au lac Tsomoriri (18km de long, 4540 m alt.). Son village, Korzok, est habité en permanence par une petite communauté de nomades Changpa, ce qui fait de lui, l’un des villages en activité les plus hauts d’Asie. Situé sur la route du commerce entre le Spiti et le Ladakh, le monastère, vieux de plus de 500 ans, fut visité par bon nombre des premiers explorateurs. Logement en camp fixe (4500 m d'alt.).

J11 : TSOMORIRI – TSOKAR – SARCHU (219km – 7h)

Nous quittons le Tsomoriri malgré nous, la route reprend l’itinéraire de la veille, jusqu'à Pulga. La faune est abondante et variée, nous croisons régulièrement kiang, oiseaux, marmottes, renards, yaks, dzo, chèvres, et vaches. Nous passons le col de Polo Kongka (4920 m alt.) et rejoignons le lac Tsokar. A l’approche des Morey Plains, nous empruntons une large bande de terre sablonneuse coincée entre deux montagnes, des tentes de nomades se dessinent à l’horizon, des troupeaux de yaks et de chèvres pashminas parcourent la plaine pour y grappiller les quelques végétaux capables de survivre à ces altitudes (+/- 4300 m alt.). Ensuite, les gorges étroites de Pang entament le passage successif de deux cols d’altitude, le Lachuglung La (5064 m alt.) et le Nakeela (4738 m alt.), puis la descente par une série de loops nous conduit jusqu'à un canyon que nous longeons sur 25 kilomètres avant d’atteindre les plateaux de Sarchu. Logement en camp fixe (4300 m d'alt.).

Maison traditionnelle vieux village de Manali, Himachal Pradesh - Voyage à moto Transhimalayenne et Ladakh, Inde, Himalaya

J12 : SARCHU – MANALI (177km – 6h)

Les portes du Ladakh se referment au passage du Baralacha La (4800 m alt.), les paysages du Lahaul dévoilent alors leurs vallées verdoyantes, l’altitude diminue et une multitude d’odeurs embaument l’atmosphère. Au Lahaul, le bouddhisme et l’hindouisme cohabitent dans bon nombre de villages à l’image de la région qui, géographiquement, est située entre le sous-continent indien et les grands espaces himalayens. Nous longeons ensuite la rivière Chandra alimentée en eau par la fonte des glaciers environnant avant d’emprunter le nouveau tunnel long de 9 km qui relie la région du Lahaul à la vallée de Kullu (autre fois connue sous le nom de Kulanthapitha « bout du monde habitable »). C’est le grand boum à la sortie du tunnel, un contraste saisissant entre deux mondes si proche et si différent à la fois. La descente de 20 km jusqu’à Manali au milieu d’une végétation luxuriante dans un décors alpin marque la fin de notre périple himalayens. Le soir, « Himachali Party » en compagnie de l’équipe… Logement à l’hôtel (2000 m d'alt.).

Humayuna tombe à Delhi - Stupa au col du Kumzum La - Voyage moto en Inde

J13 : MANALI – DELHI (570KM – 12h)

Le vieux village a gardé son caractère traditionnel avec ses maisons faites de terre, de pierre et de bois. La nature, omniprésente dicte le rythme de vie des habitants, agriculteurs dans l’âme utilisant chacune des ressources naturelles selon des procédés anciens. La culture des pommiers en terrasse, instaurée à l’époque en Himachal Pradesh par les anglais, représente aujourd’hui le principal revenu des villageois. Journée libre, possibilité de balade à pied dans le vieux Manali. A 17h, bus de nuit pour Delhi (nuit dans le bus Volvo confortable et climatisé). .

Drapeaux à prières - Vallée de la Chandra, Lahaul - Voyage à moto Transhimalayenne et Ladakh, Inde, Himalaya

J14 : DELHI – EUROPE

Arrivée vers 7-8h du matin à Delhi. Journée libre pour le shopping, possibilités de visites. Vous disposez de la chambre jusqu’à 12h… Selon vos horaires de vols, transfert vers l’aéroport international de Delhi.

La fiche technique et le prix

L’encadrement : Vous êtes pris en charge depuis l’aéroport international de Delhi (à votre arrivée en Inde et jusqu’à votre départ vers l’Europe). Un membre de notre équipe vous accueillera à votre arrivée à l’aéroport. Durant le voyage à moto, l’équipe se constitue de Sanu, c’est votre guide culturel francophone, il passe de la voiture assistance à la moto et vice versa, enchaine la présentation de la vie locale, vous plonge dans l’histoire d’un monastère, du bouddhisme, de l’Inde, de l’Himalaya ou… C’est sans fin, il est incollable. Depuis 2013, Thinless a troqué sa jeep contre une moto Royal Enfield, c’est lui qui ouvre la route et s’assure que le sourire ne vous quitte plus. Ses compagnons de route l’ont ironiquement surnomé “Road Captain” (il est Ladakhi et est aussi notre guide local… Il connait tout le monde partout et cela nous ouvre beaucoup de portes), Raja est notre mécanicien moto (il est Sikh et habite à Delhi quand il n’est pas en tour ou dans la préparation de notre parc de motos.. Il travaille à l’année avec nous) ! A cela s’ajoute quelques personnes que vous croiserez occasionnellement : Gyaltsan, qui s’occupe de la logistique depuis notre bureau à Leh, Dorjey (aussi Ladakhi et guide de trekking) qui vous accueille à Delhi, Nawang le propriétaire de la guesthouse à Leh, et toute une bande d’amis qui gravite autour, particulièrement lors des fêtes à la fin des séjours. Nous sommes très unis par une amitié qui dure maintenant depuis près de 10 ans et l’équipe n’a pas changée depuis le début. Nous vivons à l’année dans la région, nous y avons nos amis, nos habitudes, nos bonnes adresses…. Cela se ressent tout au long du voyage à moto… Pour le reste, c’est à vous de jouer ! 
Le voyage se déroule sur le rythme de la balade et c’est l’entre-aide qui prime sur la performance. Raja, notre mécanicien, peut à tout moment prendre une moto lors des passages plus difficiles ou pour dépanner lors d’un coup de fatigue. L’un ou l’autre pilote peut alors prendre place dans le 4×4 qui suit le groupe de motards et faire papote avec Sanu. Le voyage à moto est le meilleur moyen de visiter le Ladakh parce qu’il facilite le contact avec les personnes rencontrées, parce que vous êtes acteur et non passif, parce que l’on peut s’arrêter à tout moment pour un paysage, une photo ou une rencontre….   

Voyager à moto en Inde :  la conduite moto sur les routes indiennes est quelque peu déroutante au début, mais l’on finit vite par s’y habituer. Le klaxon est roi, le plus gros a généralement la priorité, et n’importe quoi (ou qui !) peut déboucher à tout moment en plein milieu de la route. Une fois ces trois règles assimilées, la circulation nous semble plus fluide. Ce voyage à moto s’adresse à des pilotes expérimentés capables de respecter les consignes élémentaires de sécurité.

L’itinéraire : durant le voyage à moto, les distances et les temps de roulage peuvent être modifiés en fonction des conditions climatiques et de l’état de la route. Alors faites preuve de patience et de bonne humeur, vous êtes en vacances !

Le climat : notre été européen correspond à la meilleure période pour visiter le Ladakh. Alors que le reste de l’Inde se retrouve sous la mousson, le Ladakh, coincé entre la chaine de  l’Himalaya et celle du Karakoram, se trouve épargné par les pluies. Le climat y est donc sec et rude avec une réverbération intense du soleil. Au Ladakh, les températures oscillent de 0 à 30° en fonction de l’altitude et de l’ensoleillement (les écarts sont parfois brusques). Toutefois ayez en tête que dans les alentours de Manali la mousson sera bien présente, il faudra donc prévoir des vêtements adaptés (cf. Equipement).

L’altitude : La région du Ladakh se trouve en haute altitude, nous franchissons des cols à plus de 5000m et dormons généralement entre 3000 et 3500m d’alt. Trois nuits se passent à 4500m d’alt. (les lacs et le plateau de Sarchu). Nos parcours tiennent compte de l’acclimatation à l’altitude, mais vous pourrez vous sentir un peu faibles durant les premiers jours, cela varie d’une personne à l’autre, fumeur ou pas, sportif ou non, jeune ou vieux, fille ou garçon, Il n’y a pas de profil type et d’une fois à l’autre cela peut changer.  Voici les principaux symptômes : maux de tête, étourdissement, perte d’appétit, insomnie, nausée….
Quelques conseils pour limiter le mal d’altitude :

  • Bien dormir…. Essayez d’arriver le plus reposé possible et ménagez-vous les premiers jours.
  • Boire beaucoup d’eau, même si vous n’en ressentez pas le besoin. Evitez les boissons alcoolisées, mangez peu ou léger.
  • Pas de mouvements brusques ou d’efforts démesurés… Faites tout au ralenti, c’est les vacances, prenez le temps pour vous !
  • Suivez les conseils de vos guides, ils ont de l’expérience.

La plupart du temps, il suffit de se reposer, prendre un ou deux cachets d’aspirine (pour fluidifier le sang), et ça passe. Si le mal perdure, nous disposons de bouteilles d’oxygène. Et si cela ne passe toujours pas, la seule solution est alors de redescendre en altitude. L’un des deux véhicules qui nous accompagne peut à tout moment prendre en charge un participant vers un point plus bas (vers Manali ou Leh en fonction de l’endroit où l’on se situe).
Concernant le Diamox qui est diurétique, nous préconisons une utilisation en curatif et non en préventif. Différents avis existent sur le sujet, renseignez-vous auprès de votre médecin.

Santé : au-delà des questions d’altitudes décrites ci-dessus, il est essentiel de nous faire part de toute spécificité de santé vous concernant, cela nous permettra d’être réactifs en cas de besoin. Si vous avez des antécédents cardiaques il est indispensable d’avoir l’aval de votre médecin.

Les hébergements : Les nuits se font principalement dans des guesthouses (petits hôtels de type familial) en chambre double. Chaque chambre comprend une salle de bain privée avec eau chaude, souvent dans un cadre magique. Le parcours prévoit 3 nuits en altitude dans des campements fixes installés durant la saison à Sarchu, aux lacs Tsomoriri et Pangong. Il s’agit de grandes tentes de deux personnes, où vous pouvez vous tenir debout et dormez dans un lit. De grosses couvertures sont fournies mais il est toujours préférable d’avoir son sac de couchage. Nous prenons les repas dans la tente mess. Vous êtes au plus près de la nature, les montagnes comme seul décor et les marmottes comme uniques voisines. Le bonheur !

Les repas : Les repas sont pris tous ensemble. Petit déjeuner vers 8h, déjeuner vers 12h-13h généralement sous forme de pique-nique et diner vers 19-20h au restaurant ou à la guest-house. Ce voyage est aussi une expérience culinaire qui évoluera en fonction des régions que vous traverserez. Si les traditionnels currys de poulet et végétariens ainsi que les incontournables chapatis et naans vous accompagneront tout du long, vous découvrirez une gastronomie plus proche de celle chinoise une fois au Ladakh avec ses nouilles sautées, raviolis vapeurs (momos) et grandes soupes par exemple. Vous aurez également un aperçu des plats de type cachemiri (à forte influence pakistanaise), délicieux ! Pour les moins aventuriers du palais, rassurez-vous, les occasions de manger occidental seront nombreuses. Quant à manger épicé, cela dépendra de vos goûts !

Tenues : afin de respecter la culture locale, il est important d’avoir les épaules couvertes, d’éviter les décolletés, et les jambes nues… Indispensable pour la visite des monastères.

Equipement : voici une liste non exhaustive des principales choses à mettre dans votre balluchon :·                                

  • Veste et pantalon moto avec protections
  • Chaussures de marche ou bottes moto (le plus étanche possible) + paire de basket pour le soir
  • Gants et casque moto (nous vous conseillons le casque intégrale)
  • Combinaison de pluie
  • Lunettes de soleil (haute montagne de préférence)
  • Sous couche thermolactyl
  • Pull chaud en laine, polaire, écharpe, gants et bonnet
  • Duvet (5° confort)
  • Sac à viande éventuellement
  • Lampe frontale ou lampe de poche
  • Crème solaire écran total
  • Protection lèvre (labialisant)
  • Antibiotique à large spectre
  • Aspirine / paracétamol
  • Diamox (mal des montagnes, consultez votre médecin)

Les bagages : Le poids maximum pour le vol interne entre Delhi et Leh est de 20kg en soute et 7 kg en bagage à main. Valise ou Sac à dos en fonction de vos préférences. Durant le voyage à moto, vos bagages seront transportés dans l’un des véhicules qui suit le groupe. Sur la moto, vous aurez votre petit sac de jour, avec crème solaire, eau, appareil photo, etc… (nous vous fournirons une housse de protection pour l’eau et la poussière – les motos sont équipées d’un petit porte-bagages).

Argent : vous pourrez changer des euros à Delhi, à Manali et à Leh. Des distributeurs par carte bancaire sont également disponibles à Delhi, Manali et Leh (vérifiez auprès de votre banque si votre type de carte fonctionne en Inde). Le taux de change est d’environ 1€ = ­80 roupies.

Budget à prévoir : le budget sur place n’est pas très élevé…voici quelques références et frais à votre charge:

  • Vos boissons : comptez 20 roupies (25cts d’euros) pour l’incontournable chai = thé, 25 à 40 roupies le litre d’eau, 100 à 150 roupies pour une grande bière.
  • Les repas à Delhi : entre 200 et 500 roupies/repas (entre 3€ et 8€).
  • Les extras : souvenirs etc.
  • Les pourboires : à votre bon vouloir et en fonction de votre satisfaction bien entendu.

Electricité : pas besoin d’adaptateur en Inde, les prises sont les mêmes que chez vous et le voltage est de 220V (il y a beaucoup de coupures de courant). Vous pourrez charger vos batteries en cours de route, excepté les 3 soirs en campements fixes à Sarchu, aux lacs Tsokar et Tsomoriri…  Si vous avez un chargeur sur allume cigare, vous pourrez toujours rechargez vos appareils dans le véhicule d’assistance qui nous accompagne.

Communication : votre réseau téléphonique fonctionnera à Delhi. Une fois au Ladakh aucun réseau étranger ne fonctionne (zone protégée de par la proximité avec la Chine et le Pakistan). Sur place et sur certaine étape vous aurez accès à une connection Wifi (mais c’est parfois très lent) ou en cas d’urgence, vos proches peuvent joindre directement un membre de notre équipe.

Décalage horaire : l’Inde est loin, mais pas si loin ! + 3h30 vous séparerons de vos proches restés en Europe.

Vaccins : aucune vaccination n’est administrativement obligatoire en Inde. Cela dit il est important d’être à jour pour les vaccination universelles : tétanos, polio, diphtérie, hépatite B, coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole. La vaccination contre l’hépatite A et la fièvre typhoïde est conseillée.

Visa Inde : à propos du visa, cela va en général assez vite (4 à 5 jours ouvrable), mais il faut prévoir un mois à l’avance pour être certain de l’obtenir dans les temps… Le demande de visa se fait en ligne https://indianvisaonline.gov.in/evisa/tvoa.html

Le prix comprend

Le prix ne comprend pas